Toulon dans les 6 cités balnéaires de l’été 2019 du Guardian

Pour le quotidien d’information britannique The Guardian, fondé en 1821, notre belle Ville de Toulon et sa métropole figurent parmi les 6 villes balnéaires d’Europe à visiter cet été aux côtés de Cádiz (Espagne), Cagliari (Italie), Ostende (Belgique), Rovinj (Croatie) et Volos (Grèce).

The Guardian rappelle que notre ville est une base navale importante depuis le XVe siècle et bénéficie également « du climat le plus chaud et le plus ensoleillé de France », ainsi que de « plages de toutes sortes sur plus de 50 km de criques et de péninsules » réparties sur son territoire métropolitain.

Le quotidien évoque l’image sulfureuse passée de notre ville, à l’instar d’un bon nombre de ports militaires, mais indique que Toulon est désormais aujourd’hui « une ville accueillante et conviviale », avec « un réseau de transport en commun complet comprenant des bus et des bateaux-bus qui sillonnent les nombreux ports de notre rade, reliant la vieille ville aux plages » pour un coût modique, The Guardian rappelant d’ailleurs le prix de la carte 10 voyages à seulement 10 euros (et 6,90€ pour les moins de 26 ans), notre Réseau Mistral ayant les tarifs les moins chers de France des 15 plus grandes Métropoles de notre pays.

The Guardian poursuit en suggérant quelques pistes aux futurs visiteurs de notre ville, comme « faire du shopping et découvrir la culture dans la vieille ville animée » ou de « s’installer à la plage d’un côté ou l’autre de la rade » direction Les Sablettes ou la presqu’île de Saint-Mandrier en bateau-bus, vers les différentes anses des plages du Mourillon ou encore dans « l’ancien hameau de pêche de l’Anse Méjean si particulier avec une baie semi-circulaire d’eau cristalline nichée sous la forteresse du Cap Brun ».

Le quotidien indique ensuite à ses lecteurs que « la vieille ville de Toulon est animée avec des rues bordées de petits bistrots saisonniers, de boutiques vintage et de galeries ». The Guardian invite ainsi à découvrir le Musée des Arts asiatiques, la Maison de la Photographie ou l’hôtel des arts et rappelle que tous les musées de la ville sont gratuits. Il propose ensuite de prendre la pleine mesure de l’étendue de la ville grâce au « téléphérique jusqu’au sommet du mont Faron, situé à 584 mètres d’altitude ».

L’article est conclu par une sélection de bonnes adresses où dormir et où déjeuner réalisée par les journalistes du quotidien.